Dans son rapport d’activité, récemment publié, la FPA dresse son bilan annuel. (CReAs, installés dans les hôpitaux Necker-enfants malades et la Pitié-Salpêtrière). Parallèlement, la fondation initie des appels à projets pour soutenir la formation des jeunes chercheurs et des équipes confirmées. Elle attribue chaque année 3 prix : les prix émergence recherche fondamentale, émergence recherche clinique et un grand prix international. Son action est aussi de vulgariser les résultats de la recherche qu’elle soutient et d’animer la communauté des chercheurs en France dans le domaine de l’audition. Au sujet du volet sociétal, la fondation est très investie dans sa mission d’amélioration du quotidien des personnes sourdes ou malentendantes. Un investissement qui passe notamment par l’accompagnement à la parentalité, le mentorat des étudiants ou encore par l’accompagnement de la perte de l’audition en Ehpad. La fondation reste évidemment mobilisée sur le terrain de prévention et de la sensibilisation. Une démarche qui vise à éduquer dès le plus jeune âge, notamment à travers son programme pédagogique D’Sybel à destination des enseignants. Cela passe aussi par des campagnes de prévention sur les risques sonores avec un nouveau slogan « prenons la mesure du son », par son espace RelaxSon, un dispositif dédié aux festivals de musique ou encore par la sensibilisation en entreprise. Selon Denis Le Squer, la fondation souhaite aujourd’hui « davantage se concentrer sur la prévention auprès des jeunes, le bien vieillir, l’insertion professionnelle/ le maintien dans l’emploi, dans une logique partenariale. Pour cela, elle s’appuiera sur les meilleures idées et réseaux existants pour co-construire et déployer de nouvelles solutions de grande ampleur. L’enjeu sera le développement d’une logique d’impact au service des personnes sourdes ou malentendantes. » De son côté, son président, Jean-Pierre Meyers, « invite le monde de l’entreprise à rejoindre la fondation pour sensibiliser, prévenir et inclure les personnes sourdes ou malentendantes. Et d’ajouter que, collectivement, grâce à l’action de toutes les parties prenantes, monde professionnel, pouvoirs publics, associations, chercheurs et personnes concernées, nous pourrons faire progresser la cause de l’audition vers un monde plus inclusif et respectueux des différences »
Retrouvez ici l’intégralité du rapport d’activité
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